Dans quelques jours, les amoureux d’automobiles auront la chance de découvrir le sublime prototype de Ferrari LaFerrari de 2012. Ce véhicule de marque sera mis aux enchères le 14 mai prochain au RM Sotheby’s à Monaco. Bien que le véhicule ne soit pas tout récent, LaFerrari reste encore aujourd’hui une pépite dans le milieu de l’automobile. C’est d’autant plus le cas si on ne tient compte que de la marque Ferrari.
Un modèle unique en son genre
Ce modèle en question n’existe qu’en exemplaire limité. À travers le monde, il en existe que 499 exemplaires, et leur acquisition n’est pas à la portée de tout le monde. Une Ferrari reste une Ferrari, et pour en obtenir une, il va bien falloir débourser gros. Plus le modèle est rare, plus il vaut son pesant d’or, et avec les enchères, les prix vont flamber. Le prototype LaFerrari a été dévoilé la toute première fois au public en 2013 dans la ville de Genève.
Dans l’univers des modèles sportifs, cette voiture marquait un grand tournant dans l’évolution avec l’hybridation. C’était le début d’une nouvelle ère, et ce n’était pas la seule voiture à créer la surprise en cette occasion. Lors du salon de Genève 2013, LaFerrari se tenait aux côtés des Porsche 918 Spyder et McLaren P1. Comme bon nombre de modèles, LaFerrari a passé d’innombrables tests avant d’être présentée au grand public. Pour ainsi dire, c’est un modèle tout à fait optimal qui n’a aucun défaut.
Ce véhicule dispose d’un châssis de 458 Italia qui a subi des modifications. Ledit châssis est construit autour d’un châssis fait en aluminium. Avant de porter le nom de LaFerrari, ce prototype était, à l’origine, connu sous le nom de Prototype M6. Le véhicule portait déjà ce nom durant sa phase de développement entre mai 2011 et décembre. Durant cette période, LaFerrari a passé différents tests pour vérifier la fonctionnalité du système hybride. Après des tests concluants, LaFerrari est enfin dévoilée au public. C’est après ça que plusieurs prototypes ont été mis sur le marché. Mais, cela ne s’est pas fait sans répondre à certaines exigences, car la voiture n’avait pas encore été homologuée. Par conséquent, elle ne pouvait être immatriculée pour un usage routier. Et cela s’applique également à des usages sur circuit public. En conclusion, le véhicule ne pouvait être utilisé que dans un espace ou un terrain privé.
